Les actifs sont des actifs ou des biens durables qui ont une utilité qui couvre plus d’un exercice comptable, généralement un an, et parmi lesquels il y a des biens immobiliers parmi beaucoup d’autres.
Ces biens représentent une partie de l’actif de la société bien qu’ils aient une durée d’utilisation limitée (matériel de bureau…).
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Le plan comptable général les insère dansles actifs du bilan et les code dans la classe 2 (c’est-à-dire les comptes commençant par 2).
Ils peuvent être divisés en trois ménages « comptables » même si la CPG a établi d’autres classements.
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Plan de l'article
Immobilisations corporelles
Ils ont une existence physique, une durée de vie de plus d’un an et une valeur d’utilisation suffisante pour représenter le capital.
C’ est ainsi qu’il est admis par les autorités fiscales que les objets dont le prix unitaire est inférieur à 500€ hors TVA ne contiennent pas d’immobilisations mais sont a considéré que les dépenses courantes étaient engagées comme frais généraux.
Quels comptes sont utilisés ?
Le plan général des comptes structurant la comptabilité d’entreprise a codifié les immobilisations matérielles comme suit. Voici les comptes comptables utilisés :
- 211 Terrains
- 213 Construction
- 214 Bâtiments sur le sol des autres
- 215 Installations, équipements et outils industriels
- 218 Autres actifs en capital corporel, qui sont divisés en sous-comptes parce qu’ils comprennent un certain nombre d’éléments comptabilisés dans la plupart des entreprises, comme suit :
- 2181 Services généraux, accessoires, accessoires divers
- 2183 Matériel de transport
- 2184 Meubles
- 231 Immobilisations en cours
- 238 Avances et versements sur immobilisations corporelles.
Comment passer des journaux pour les immobilisations ?
L’ achat et la cession de biens corporels donnent lieu à des écritures comptables telles que Suit :
1- Comment afficher l’acquisition d’un actif ?
Partant du principe le plus courant de recouvrement de la TVA pour toutes les entreprises (à l’exception des auto-entrepreneurs exonérés de leurs recettes…), nous prendrons l’exemple de l’achat d’un véhicule roulant dont le prix d’achat est de 30.000€ HT. TVA et 6.000€ de TVA payée en espèces par chèque.
Date | Compte | Étiquette | Flux | Crédit |
---|---|---|---|---|
—/— | 218200 | Véhicule | X 30 000,00 | |
—/— | 445620 | TVA sur immobilisation | 6 000,00 | |
—/— | 512100 | Banque | 36 000,00 |
2- Comment enregistrer l’affectation d’un actif ?
Les éléments de « sortie », généralement pour la revente de la propriété, sont les suivants, en prenant par exemple le transfert en espèces du même véhicule au prix de 12 000€ TVA incluse (soit 10 000€ HT. TVA) après quelques années et estimant l’amortissement cumulé à 25 000€ :
Date | Compte | Étiquette | Flux | Crédit |
---|---|---|---|---|
—/— | 512000 | Banque | 12 000,00 | |
—/— | 445710 | TVA perçue lors de l’immobilisation | 2 000,00 | |
—/— | 775200 | Revenus provenant de la vente d’actifs non rejetés | 10 000,00 | |
—/— | 675200 | Valeur comptable nette des actifs | 5000,00 | |
—/— | 281810 | Véhicule d’échappement X | 25 000,00 | |
—/— | 218200 | Sortie du véhicule X | 30 000,00 |
Le profit net semble prendre la différence entre les comptes de profits et pertes, qui est, la différence entre ce qui apparaît dans le compte 7752 et celui qui apparaît dans le compte 6752. Dans notre exemple, ce bénéfice est de 5 000€ (soit 10 000€ — 5 000€).
Grâce à nos inscriptions, le bénéfice est reconnu et les comptes de 218 et 2818 seront en vente puis disparaîtront du bilan de l’année en cours.
Immobilisations incorporelles
Ceux-ci n’ont pas de substance physique mais représentent une valeur réelle, une « bonne volonté » comme disent nos amis anglo-saxons et il est logique de les considérer comme une vraie ressource.
Ces propriétés sont :
- entreprises (207)
- droits de crédit-bail (206)
- brevets, licences, marques (205)
Et tout en s’analysant comme des dépenses, le BCP a ajouté :
- coûts de recherche et développement (203)
- coûts de constitution en société, augmentation de capital, fusion, traitement juridique et frais prospection et publicité (201).
Mais ces dépenses peuvent être « amorties » au cours de leur première année et sont indirectement retirées de l’actif.
Actifs financiers
Ces investissements sont des investissements dans des fonds à moyen et à long terme et peuvent comprendre :
- actions de filiales ou d’autres partenaires (272)
- Obligations diverses émises par des filiales ou autres (2721)
- les titres de créance tels que les avances, les prêts, les dépôts de titres et les obligations louées (274, 275, 276).
Sauf dans des cas exceptionnels, ces immobilisations ne sont pas amortissables, sauf en ce qui concerne la dépréciation qui donne lieu à des frais de déduction.
Amortissement
Comment calculer l’amortissement
Le plan comptable général utilise le compte 28 et ses sous-comptes pour chacune des catégories d’immobilisations présentes dans les comptes de la société et inscrites dans ses actifs.
L’ amortissement est destiné à prédire l’usure, obsolète et la perte de valeur de ces marchandises.
L’ article 39-/12 du Code général des impôts estime la durée moyenne et conseille de respecter les taux d’amortissement annuels, à moins que les entrepreneurs ne décident de déroger à leurs propres risques.
Il donne une fourche mini-maxi, qui sont les suivantes :
- de 2 à 5 % pour les biens immobiliers, la valeur du terrain est exclue parce qu’elle est inutilisable par définition
- 5 -10% pour les installations et les raccords
- 10 -20% pour les matériaux et les outils
- 20 -25% pour les véhicules
- 10 -20% pour le mobilier de bureau
- 33% pour le matériel informatique (3 ans)
Il convient de noter que toutes les acquisitions de ces biens d’une valeur inférieure à 500€ ne peuvent pas être incluses dans l’actif (ne seront pas amorties) mais peuvent être imputées directement à titre de frais généraux (y compris la déduction immédiate).
Des taux d’amortissement plus élevés peuvent être utilisés pour les biens d’occasion, ou dans le cas de usure prématurée ou obsolescence, par l’entreprise pour justifier la raison.
En outre, en plus de l’amortissement linéaire, la société peut choisir une dépréciation à la baisse, en utilisant les coefficients indiqués par la II.I. pour augmenter ces taux afin de tenir compte de la dépréciation plus rapide du bien au cours des premières années.
L’ administration fiscale fixe les coefficients de recharge pour les taux linéaires habituels en fonction de la période d’amortissement normale.
Ces taux d’amortissement en baisse (A.D.) sont les suivants :
- 1,25 pour une durée de 3 à 4 ans
- 1,75 pour une période de 5 à 6 ans
- 2.25 pour plus de 6 ans
Ces taux s’appliquent à la valeur comptable nette année après année et la répartition des amortissements diminue d’année en année.
Notez que ce système d’amortissement ne peut pas s’appliquer :
- à l’équipement usagé
- aux véhicules de tourisme
- biens d’amortissement en moins de 3 ans
QUELS SONT LES ÉLÉMENTS COMPTABLES À TRANSMETTRE ?
Étant donné que la dépréciation est une dépense pour l’exercice, il s’agit des comptes de débit suivants :
- 681 : Allocations d’amortissement (charges d’exploitation)
- 686 : Crédits d’amortissement (Dépenses financières)
- 687 : Amortissement (dépenses exceptionnelles)
Les comptes correspondants de la classe 28 seront crédités.
Les montants ainsi portés au crédit des comptes d’amortissement sont présentés au bilan non pas sur les passifs, mais en déduction des comptes des actifs correspondants.
En conclusion, l’amortissement a pour fonction de réserver des fonds pour remplacer les immobilisations sans valeur, réduire les avantages (ou aggraver les déficits).
En raison de cet impact sur l’assiette fiscale et les résultats qui pourraient être distribués aux partenaires, nous croyons que l’avis du comptable de la société serait utile pour le choix des tarifs et la méthode que amortissement (linéaire ou accéléré).